Elle ne me tient plus la main.
Nous marchons dans l'embrasement d'un après-midi d'hiver, le visage transi par la tourmente du vent cuisant, mais elle ne me tient plus la main.
Il en est ainsi.
La réciprocité pourrait sembler de circonstance, mais il n'en est rien.
Si elle ne me tient plus la main, moi, je la lui tiens. Dans ma tête.
Je ne pense qu'à ça.

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26/11/2013 07:28:43 pm

Bonjour Olivier, j'aime beaucoup ce texte. Merci de l'avoir partagé. On s'y retrouve certainement tous un peu.
Excellente écriture d'ailleurs ...

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